Un véhicule réutilisé, un geste pour la planète
Remettre un VéloSolex en circulation, c’est éviter la production d’un véhicule neuf et prolonger la vie d’un objet déjà existant. Cette pratique s’inscrit pleinement dans une logique de réemploi et de réduction des déchets, valeurs fondamentales de l’économie circulaire.
Une faible consommation pour un impact réduit
Avec seulement 1 à 1,5 litre de carburant pour 100 kilomètres, le VéloSolex consomme beaucoup moins qu’un scooter ou une voiture. Ce type de mobilité douce permet de limiter les émissions de CO₂ tout en gardant la liberté de circuler, surtout sur de petits trajets.
Une mécanique simple, durable et accessible
Le Solex fonctionne avec des pièces mécaniques faciles à entretenir et à réparer. Contrairement aux véhicules modernes, il ne dépend pas de composants électroniques complexes. Cela en fait une solution durable, économique et adaptée aux personnes sensibles à la réduction de leur empreinte écologique.
Un emblème du patrimoine mécanique français
Né dans les années 1940, le VéloSolex fait aujourd’hui partie de l’histoire industrielle française. Il évoque une époque où la mobilité était plus lente, plus simple, plus humaine. Conserver et utiliser ces véhicules, c’est aussi préserver un savoir-faire et un style de vie à part entière.
Un moyen original de découvrir autrement
Le Solex n’est pas seulement un objet nostalgique : c’est une alternative écologique au tourisme motorisé classique. En choisissant ce type de véhicule, on opte pour une exploration douce, silencieuse et responsable.
À Argelès-sur-Mer, certaines balades guidées vous permettent même de vivre cette expérience unique tout en découvrant le patrimoine local.